L'hôpital militaire (QG)

Hôpital à l'intérieur de la ase de Dublith. C'est le plus proche.

Les deux soldats conduisirent Philas à la base puis à l'hôpital. Ils allèrent voir les infirmières pour une une urgence et leur montrèrent Philas portant Alcya. Quelques instants plus tard un charriot arriva vers Philas. Celui-ci y déposa la jeune fille et remarqua quelque chose acroché à sa robe. Il ne s'en était pas rendu compte avant et stoppa les médecins avant qu'ils n'emmènent Alcya pour prendre l'objet. Il l'xamina et decouvrit que c'était un chardon de couleur violet foncé.

Il examina l'objet plus longuement... mais qu'est-ce que cet objet faisait bien la... Il se rappela soudain que l'assaillant avait lancer un objet par terre avant de s'échapper... puis il se rappela que celui ci était peut-ètre encore dans sa prison de pierre.... Qu'il pourrisses donc dans cet endroit maudit, se disait-il... mais se chardon n'était pas a sa place... la marque de l'assaillant? peut-ètre... surement seulement Alcya saurait l'origine de l'objet... Il en était sur...

Il s'assit donc sur une chaise (salle d'attente quelqu'un?) et y resta pendant un bon bout de temps... surement ces soldats voudraient l'interoger sur les évènements qui leur semblait louche... et avec raison!

Les soldats revînrent effectivement ver Philas, mais ce fût pour lui dire qu'ils étaient désolés pour son amie mais qu'ils l'interrogerait et écouteraient son témoignage plus tard car ils avaient des choses plus importantes affaires à régler et que :

"Cela concerne un grave problème touchant Central. Et nous n'avons pas de temps à perdre avec des histoires futiles de "meurtres", d'attaques pour l'instant, tant que cela ne se reproduit pas."

Ils saluèrent Philas et sortirent.

Philas les regardait sortire.. de grave problèmes qui touchaient Central?! Quoi qu'il en soit... Il se leva un peu et alla vers les toilettes, Il se servit du lavabo la bas pour s'essuyer les mainset un peu repenser a tout se qui s'était passer.... Miracle, la salle était vide.... pas de questions indiscrètes donc. Il finit par sortir... l'air encore un peu décontenensé... Il alla vers la salle d'attente... la salle ou il était avant. et retourna s'assoir. Mais, qui était donc cet assassin? Et qu'est-ce que se chardon foutait bien la? était-ce la marque de l'assassin? L'avenir le dirait surement... et il n'avait qu'a aller lui poser des questions! mais... il n'avait qu'envie de s'écraser et d'attendre.... attendre en... dormant peut-ètre? non... il n'en serait pas capable... Il pris donc une revue a l'air plutot moche... et commenca a lire... plus pour passer le temps qu'autre chose...

Quelques heures plus tard, Philas vit venir un chirurgien vers lui. Il s'essuyait le visage plein de sueur et les mains avec du papier.

C'est vous qui avez ammené la jeune femme tout à l'heure ?

Lui demanda-t-il.

Philas releva sa tète de la revue horrible de décoration qu'il avait a la main... après 5 revues comme sa il avait presque l'intention de refaire la déco de son appartement...

oui... elle va bien?

Il restait la, a fixer le regard du chirurgien... comme pour déceler la réponce avant mème qu'il la prononces.

Le chirugien s'essuya le front de nouveau et remit ses lunettes. Il regarda Philas

Nous avons pu la sauver de justesse, encore quelques minutes cela autrait été impossible. Mais elle est dans un état critique, prisonnière entre la vie et la mort.

Il soupira longuement. Il ferma les yeux et serra le chardon, de sa main droite, avec une force augmentée pas la rage...

Il retourna son regard vers le chirurgien.

si vous avez des nouvelles... appelez moi... et... j'ai retrouvé cela sur elle.... l'assaillant avait semblé l'avoir lancé... a elle

Il montra le chardon au chirurgien.

si vous savez quelque chose a propos de cet objet...

Le chirurgien prit le chardon et le regarda de plus près.

A première vue c'est un Celebriän Calaelen, ou plus communément un chardon violet. Il pousse dans les très hautes montagnes du pays de Querasdadilonia. Selon usages il peut soigner, ensorceler ou tuer mais je ne me souviens plus beaucoup. Quand à savoir ce qu'il symbolise, il redonna le chardon à Philas, je n'en ai pas la moindre idée. Le mieux est que vous alliez voir mon collègue du département des sciences et histoires. Mais avant d'y aller, nous voulez-vous pas la voir ?

Il soupira encore. Bien sur qu'il voulait... mais...

Il hocha la tète en signe d'acquiescement. et il suivit le chirurgien, la tète vers le bas....

Il alla s'assoir dans la salle et la regarda (je sait pas pour vous mais au québec y as des chaises dans les salles des malades =P)... sans la connaissance de la blessure qui lui avait été porté, n'importe qui aurait pu penser qu'elle s'en tirerait bien... Lui, il savait que sa serait plus compliqué.... elle avait du tomber instantanément... sans trop soufrir. Ce meurtrier devait payer. C'est ce qu'il se dit... Il serra le chardon, la seule pensée de cet homme lui donnait envie de le tuer. Quoi que c'était très paradoxal... et il le savait bien... sa logique était ailleurs se jour la.

Il s'approcha d'elle... Il redescendit sa tète....

je sait... que tu ne peut pas entendre... je sais... que je suis encore un parfait inconnu.... mais.... désolé de... ne pas avoir été la a temps...

Une larme coula... Il lacha le chardon et relacha toute tensions qui étaient dans son corps...... Il prit une grande respiration puis approcha sa chaise. et resta la... a attendre... peut-ètre la venue du chirurgien, peut-ètre son réveil... il n'en avait aucune idée... ou peut-ètre était-ce son instinct protecteur qui lui disait de rester... car il avait l'impretion que se malade n'était plus dans sa prison de pierre...

Philas regardait la jeune femme et cru apperçevoir un mouvement, comme en réaction à ce qu'il venait de dire. Il cru voir sa main serrer légèrement les dras, sa bouche se rétracter et ses yeux se plisser légèrement, comme une grimace de douleur.

Albel sursauta, il était SUR qu'elle était dans le coma! ou pire....

...

Aucun mot ne sortait, il était ébahi... elle était encore la! mais.... avait-elle vraiement perdu conscience?! il l'espérait presque pour elle... pauvre elle... avait-elle vraiement tout enduré depuis le début?

v... vous ètes éveillée?

dit-il sur un ton bas....

Un moment passa, de longues secondes durant lesquelles Philas était penchée sur elle. Enfin, brusquement, pour oute réponse, elle lui attrapa le bras et le serra autant quelle put de sa main frêle, tremblante, malade.

sa va aller

fit-il sur un ton encore bas... Il avait peine a croire qu'elle était encore capable de serrer aussi fort. bon signe.... Il avait toujours pitié pour elle.... mais il commencait a avoir un peu... peur.... ces réactions n'arrivent que dans les films d'horreur habituellement! mais... il décida de ne pas laisser place a son imagination.... et de penser de facon rationelle... elle était la, toujours bien en vie... et c'était sa qui comptait pour l'instant. Il placa sa main libre sur la sienne.

sa va aller

répeta-t-il

Elle enleva sa main de la main de Philas et sur le dos de la main de ce dernier, d'un doigt tremblant, elle se mit à traçer des choses.

hm?

Il prit concience de chacun des signes qu'elle tracait... mais... ce ne fut que... mais... qu'est-ce que?! il ne comprenait absolument rien... mais... Il sortit enfin le crayon qu'il avait placé dans sa poche (celui de la chaloupe) et écrit les signes sur un bout de bandage qui trainait sur la table de chevet du lit d'hôpital... il réécrit tout, sans oublier un seul signe....

Philas se trompait. Ce n'était pas des signes. Et après avoir relut ce qu'il venait de marquer, il s'apperçu après un assez longue observation que les signes qu'il avait marqués était en réalité des lettres. Et le mot disait tout en entier :

"Non... part...ez veux pas yez pliqué faire "

C'était ce qu'il lisait d'après ce qu'il avait écrit. Après un temps de réflexion, il en fit la traduction suivante :

"Non, partez. Je ne veux pas que vous soyez impliqué dans cette affaire."

Il la regarda droit dans les yeux...

écoutez, il m'as vu.... et ce qui est, est fait... je ne vous laisserai pas èrrer seule sans protection maintenant que je sais a quel genre de dangers vous vous exposez... que vous le veuillez ou non...

Il soupira et regarda par la fenètre, puis par la porte scrutant pour appercevoir quelque chose.

mais bon, pour l'instant, pensez plus a récupérer vos forces...

La main d'Alcya retomba sur le matelas. C'est à ce moment que le chrurgien entra dans la chambre.

Excusez-moi d'avoir été si long, mais nous sommes presque en pénurie de son groupe sanguin. Il a donc fallut que je cherche un peu. On a peu de réserve déjà en temps normal pour ce groupe et les donneurs se font de moins en moins nombreux. De génération en génération le groupe se perd de plus en plus, donc de moins en moin de donneurs... Il soupira et remonta ses lunettes sur son nez. Je suppose que vous savez ce que ça signifie ?

Philas se releva et regarda le chirurgien...

expliquez moi donc... dison que je ne suis pas dans un état a penser a tout...

Il avait beau venir tout juste de se réveiller de sa chaloupe... la journée avait été épuisante... et son esprit était déja ailleurs....

Le chirurgien baissa la tête et la releva presque immédiatement.

Et bien...commença-t-il, Elle à perdu beaucoup de sang et à moins que son état s'arrange-ce qui me semble infiniment (trés petit peu) possible maintenant-et comme nous ne pouvons pas la transférer dans un autre hôpital dans son état

Il réfléchit un instant....

n'y aurait-il pas de manière pour piger un peu dans les réserves d'une autre ville? comme Central!... sans mème la transporter vous pourriez lui donner le traitement ici! je suis sur qu'ils comprendraient l'urgence!

l'idée lui semblait bonne... même si Central ne lui semblait pas une si bonne idée en ces temps si... surtout avec ces ''Problèmes'' qui préoccupaient tant les soldats...